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« Quand nous avons de grands trésors sous les yeux, nous ne nous en apercevons jamais. Et vous savez pourquoi ? Parce que les hommes ne croient pas aux trésors. » (L'Alchimiste, Paulo Coelho) … et bien moi, j’y crois :-D !! Certains trésors sont inestimables … Et pourtant, il ne s'agit ni de pièces d'or, ni de joyaux et autres pierres précieuses. Pas besoin de cartes, ni d'énigmes pour les découvrir. Sésame, ouvre-toi ! C’est dimanche et l'heure est à la sieste. A la sieste coquine sous la couette, aux effusions promises, aux doux préliminaires, aux draps froissés par nos itinéraires. Affamé de ses sourires, de ses doux rires, de son discours, de son corps, j’en dévore déjà les arômes. De confidences en complicité, une chose en entraine une autre, la Belle et la Bête entrent en représentation. Coquette, les vêtements s'effeuillent avec subtilité. Le rythme de mon cœur s'accélère, petit à petit tombent les dernières liquettes. Chaque parcelle de mon corps frissonne, mes pensées deviennent polissonnes. La belle ensorcelle, brillante demoiselle. La belle est friponne, érotiquement joueuse. Elle annonce joie, plaisir et tendresse avec frottements, caresses et bécots. Son regard se pose sur moi, dans ma tête les tracas s'effacent et mon âme s'abandonne. Je regarde cette lumière au fond de ses yeux, elle brille de milles feux, elle fait de moi un Roi couronné par la douceur de ses caresses et là commence la plus belle des chasses aux trésors. Sa main mutine effleure mon corps. Sur chaque centimètre de mon corps, elle fait monter la fièvre. Sa langue joueuse chatouille, mouillée mais pas bredouille. Le membre frissonne. Elle titille et tatillonne. Laisse monter la vapeur, recueille la saveur, elle aime faire languir, nous entendre enfin gémir. Je l'amène à ressentir le moindre de mes désirs. Elle s'enrôle dans un corps à corps, mélodieux et rythmé puis s’abandonne dans un doux et sensuel rodéo nourrissant mon exaltation. Gourmande et usant d’invincibles mouvements en voraces caresses, elle parcourt et court sur tout mon être. Des bulles de désir éclatent d'ivresse, ma peau respire à présent la tendresse. Mon corps contre le sien se presse, je ne réponds plus de rien tellement je me sens de plus en plus bien. Tableau terriblement excitant, on se laisse submerger par la montée ô culminant de ces plaisirs affriolants. Les langues se délient, les poils s'hérissent, les mains se lient, les hanches glissent tout en se faisant des confidences. Chaque mot a son importance, délicatesse, gentillesse, promesse, ivresse, tendresse, prouesse. De bécots assidus en caresses insensées, elle se met à nue, je me sens tant aimée. Quand désir se fait passion et que je ne suis plus sage, nos corps se font obsession de notre propre langage. Chaque parcelle d’elle attise mon ardeur, chaque partie d’elle me comble de bonheur. Entrelacés, voire emmêlés, les corps ici n'en forment qu'un, dansent au rythme de nos envies, sont en perpétuels mouvements, se nourrissent sans cesse du désir et tous ces va-et-vient incessants ne font qu'accentuer mes plaisirs. Les murmures d'un souffle sur mon corps pendant que l'on s'unit. L’éclat d'un doux sourire à mes yeux pendant que l'on joue au jeu du plaisir. L'ardeur d'un cri qui se fait entendre pendant que l'on se donne, le temps d'une soirée. Le soupir d'un plaisir sur sa peau pendant que nos corps sont serrés. L'envie de continuer à l’infini quand son corps s’approche invariablement du mien. L'envie de recommencer quand nos regards se croisent, que nos lèvres se touchent et se désirent. Puis à leur apogée, dans un dernier élan, chants de soupirs saccadés, les corps s’unissent, sueur et sève, chair et cœur, âme et sens. Troublante sensation des peaux, alchimie du désir, alchimie du bonheur. Comment garder le silence, sans le murmurer avec éloquence, la peau frissonne sous ses mains et sous ses caresses, l’esprit s’abreuve de ses paroles. A plus que de raison, l’âme bouillonne de passion, d'une sensation si profonde tel un feu ardent où le corps frémit de ses caresses effaçant en nous toute forme de tristesse. En quête de torrides caresses qui font battre le cœur et qui donnent tant de bonheur, vos sens n’ont d’yeux que pour cette belle femme, cette douce femme, cette délicate femme … pas toujours très sage (second degré, bien évidemment :-P) mais toujours aussi adorable. Divine parmi les divines, à ne point en douter ! Elle a allumé le feu de mon secret, jalousement gardé depuis des années, le libertin n’est pas sage et en redemande, l’homme simple ami aussi … Alors que tant de fleurs méritent admiration, beaucoup vendrait leur âme pour trouver ce petit trésor, lui déclarer sa flamme, faire un petit bout de chemin avec elle et ce, jusqu'à la damnation éternelle si il le fallait. Tous ces voyageurs, parcourant ce petit et si vaste monde des plaisirs, qui ont vu l'Orchidée, la Fleur de la Passion, l'Anthurium, l’Oiseau du Paradis, l'Hibiscus, déclarent à l'unisson : Anna est rare, Anna est belle, Anna est la plus suave et la plus délicate d’entre toutes … Douce et belle Anna, notre « première fois » est encore en moi, la deuxième est là et je pense déjà à la troisième. Tes rires délicats, ton intelligence subtile, ton esprit vif, ton regard pétillant de mille feux, ton charme irrésistible, tes charmes insolents, ta gentillesse sans faille, ta générosité merveilleuse sont une vraie bénédiction, si rares à réunir tous en même temps et surtout chez une seule et même personne. Qui ne serait pas un homme heureux à tes côtés ? Ma belle « Anna-nirvana », un grand Merciiii pour cet hymne à la joie … et à bientôt :-* :-* :-* ;-D !!