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Les jolis yeux de Karen.  « Tes yeux sont si profonds qu'en me penchant pour boire / J'ai vu tous les soleils y venir se mirer  / S'y jeter à mourir tous les désespérés / Tes yeux sont si profonds que j'y perds la mémoire » (Louis Aragon « Les yeyx d’Elsa »). Karen ensoleille depuis de nombreux mois de nombreuses belles villes. Dont Marseille, la belle citée phocéenne dont elle est tombée amoureuse. Son soleil, sa mer, son peuple, ses horizons, ses couchés et ses levées de soleil, sa truculence. Femme du Brésil, enfant de l’Atlantique, elle s’est fait adoptée par la Méditerranée, cette magnifique mer. Heureusement pour moi, elle a décidé de remonter vers Lutèce. Lutèce dont les deux couleurs sont le bleu et le rouge. Le bleu de ses yeux. Le rouge de ses dernières photos qui lui va si bien. Après plusieurs rendez-vous reportés que sa gentillesse a bien voulu me pardonner, enfin le bon. Un mardi midi. Quelques minutes de métro. Les Champs Elysées par un midi gris. Le plaisir de marcher tranquillement vers un joli moment de plaisir. Simple. Partagé. Evident. Puis, après quelques détours, sa rue. Une très jolie rue avec de beaux hôtels. Deux ou trois SMS pour stabiliser sa position. Un code. Une cour intérieure. Un grand escalier. Puis enfin la fameuse porte qui s’ouvre. Elle apparaît. C’est la première fois que je la rencontre. Photos 100% réelle. Avec le dress code demandé. Celui de l’assistante fantasmée. Jupe noire. Fendue. Laissant apercevoir une jambe. Un chemisier dégrafé découvrant une jolie lingerie. Un joli corps. Une peau blanche. Douce. Puis, remontant toujours, un visage d’ange. Un très joli visage. Une bouche douce, rouge. Un regard pur et un peu timide. Le regard d’une femme qui semble s’excuser d’être aussi belle. Deux corps qui s’approchent, deux regards qui se cherchent, deux désirs qui se découvrent. Frôlement des mains, convergence des corps, atouchement des lêvres. Sourires de se trouver. Un chemisier tombe. Un corps pivote. Des mains maladroites, fébriles, détachent un soutien gorge, se saisissent des jolis fruits ainsi libérées. La faim du sein de la femme. La douceur de son têton. Le bruit altéré de sa respiration. Puis, une main de femme cherche en arrière la concrétisation du désir qu’elle a éveillé, une masse de chair devenu os. Des tissus encore se détachent. Magnifique préambule. Puis, le temps de la solitude dans une douche spatieuse de ce bel appartement du 16e. Au retour, nous prenons le chemin du grand lit. Première mi-temps. Deux corps allongés l’un à côté de l’autre. Plaisant jeu de séduction. L’attirer vers soi. Effleurer ses lèvres. Plonger dans sa nuque. Se saisir de son magnifique séant. Puis s’abandonner dans un sourire d’enfant, de grand enfant, à son regard fascinant. Un FK tendre et romantique, puis un DFK fougueux, empressé. Au bout de quelques instants, elle quitte mes lèvres pour mon torses, mon ventre, mon bas-ventre. Douceur, désir merveilleux de la femme pour son provisoire compagnon. Celui-ci l’attire ensuite vers lui, après qu’elle ait revêtu son attribut viril  d’une armure plastique.   Puis, la fusion de deux corps. La beauté de Karen surplombant sa monture. Sa peau s’échauffe délicieusement alors, son visage s’empourprent. Délicieux momemt. Deux mains masculines s’emparent de son magnifique fessier, sculpté par des heures et des heures de sport. Deux corps qui se mettent à osciller de concert. Le plaisir ressenti. Mieux : le sentiment d’en donner. Envie d’enflammer de plaisir cette délicieuse cowgirl. Impression de ne cesser son désir, son envie ne cesser de croître. Le grand moment. Pause. Mi-temps. Puis, la réouverture gourmande de la danse. Même position à ma demande. Plaisir de se sentir vivre, de se sentir désirer. Un rythme qiui reprend. Beauté merveilleuse de la corps girl. Douceur de sa peau. Tendresse de ses seins. Chaleur de son corps. L’envie rageuse de ne pas se contenter de son plaisir déjà présent, mais d’obtenir le plus, le mieux. Grande classe de la Lady. Charme infinie de sa présence.  Le rythme s’accélère. La dame a du mal à contrôler. Puis retour à 180°. Pour le prendre avec délice. Enfin la jouissance. Merveilleux moment où deux êtres conjuguent les banalités les plus pertunents. Le souci après le plaisir de ne pas l’encombrer. Vite. Vire rhabiilé en gardant les vêtements à d’autres. Puis, enfin le dernier baiser. A bientôt Karen.

Escorte commentaire pour cette évaluation:

Merci beaucoup cheri, j'espère te voir bientôt.