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Évaluation:

Chanthal, tu es maintenant loin. Merci encore de m’avoir réservé ta dernière soirée sur les bords du grand fleuve, à l’ombre de la dame de fer, là où réside « la sorcière bien aimée », la magicienne aux délicieux sortilèges de plaisir. Toi. Ce fut une très belle soirée. Une soirée de complicité. De gaité. De plaisir. Tu étais divinement élégante … comme toujours.  J’ai savouré chaque instant où je t’ai vu t’éloigner et revenir avec ta démarche royale, tes jambes magnifiques. Lorsque nous étions assis sur ton canapé, j’ai été souvent un pauvre marin, naufragé en devenir, allant de Charybde en Scylla. N’ayant le choix qu’entre succomber à ton sourire angélique ou de baisser les yeux en devenant captif d’une autre vision magnifique. Ton rire était la vie. La douceur de ta main la paix de mon âme. Je passerais la nuit à discuter avec toi. A m’enivrer de ton humanité. Aussi il a fallu encore que tu m’envoies sous la douche pour me faire enfin décamper de ton canapé. La douche, ce confessionnal des punters et des libertins. J’y ai maudit Saint-Augustin pour avoir trahi sa jeunesse, pour avoir lâcher la proie pour l’ombre. J’y ai remercié la nature pour nous avoir donné des corps merveilleux qui nous permettent d’atteindre le plaisir partagé, ce miracle de la vie. A la sortie de la salle de bain, je t’ai aperçu à l’autre bout de ta chambre. Tu avais eu la bonne idée d’abandonner d’inutiles tissus. Nous avons partagé une coupe de champagne. Puis, nous avons gagné le temple du plaisir qu’est ton lit, ce temple dont tu es la grande prêtresse. J’y ai dévoré la plus sublime des chairs. « La chair est triste / et j’ai lu tous les livres. » (Stéphane Mallarmé) Tudieu ! Et non Stéphane, elle n’est pas triste. Elle est même joyeuse, noble, belle et douce. Le plaisir de la chair est le miracle de la vie.  Et il reste encore beaucoup de bouquins à lire. Merci Chanthal pour ce sublime moment de plaisir où grâce à toi, à ta séduction, j’ai constaté que la vie était encore en moi, que j’étais capable encore d’une envie irrésistible, d’un désir merveilleux. Merci de ta sincérité dans ces moments. J’ai connu avec toi la fébrilité de celui qui guette l’apparition du soleil tôt le matin. La somptuosité du moment. Ma fébrilité de voir apparaître sur ton visage, dans ta voix, dans les mouvements de ton corps l’apparition de ton plaisir. Affolante déesse. Grande magicienne. Cheffe magnifique. Divine femme. Merveilleuse amie. Oui tu es merveilleuse Chanthal. Vous êtes merveilleuses MesDames. Merci encore à toi, à vous de nous permettre souvent de toucher au sublime un bref instant. « La beauté est une femme, et la femme est la beauté. » (Rémy de Gourmont) La beauté du corps des femmes, la beauté du corps de Chanthal. Douceur de ta peau. Longueur infinie de tes jambes. Charme infinie de ton ventre. Lourdeur de tes seins. Et charme en effet de tes annulaires tordus par le volley. Oh ! que j’ai souvent l’envie de me noyer dans la lumière de tes yeux. Mon Dieu sauvez-nous de la tentation ! Non, arrière ! Laissez-nous y succomber. Oui, succombons, dans la joie, au plaisir ! La prière du bon libertin. Sans conteste, Chanthal, tu es une femme merveilleusement raffinée. J'avais été hypnotisé par tes photos, tes vidéos un beau mois de juillet 2017. Ta féminité latine m'y avait envoûté. Ce mélange si singulier de beauté sculpturale, de douceur infinie de ton visage, de vivacité de ton regard. Mi-démon, mi-ange. Bref, divine. Simplement divine. Totalement divine. J'ai vu tes photos, tes vidéos. Je les ai revus. Et plus je les revoyais et plus je t’appréciais. La Colombie a donné beaucoup de miss Monde. Elle ne nous donnera qu'une seule Chanthal car tu es une femme fort singulière. Merci à toi Christophe Colomb de nous d’avoir rendu ceci possible. Heureusement que tu n’as pas découvert le grand passage vers la Chine : Chanthal ne serait pas là. Merci aussi à Gérard, ton descendant, ce grand édile de la capitale des Gaules qui l’accueille en ce moment. J'ai été jeune, j'ai été bête. La jeunesse est une maladie dont on guérit toujours. La bêtise pas forcément. Tu le sais Chanthal : je suis aujourd’hui beaucoup moins jeune … et à peine moins bête. Oui tu as raison : même parfois plus bête. Mais que j'ai été intelligent le jour où j'ai osé t’envoyer un sms te demandant un rendez-vous. Tes photos sont à 100% réelles. Car tu es un être sincère et authentique. Et ta présentation aussi est à 100% réelle. Oui, tu aimes découvrir les gens. Oui tu es sensible à leurs joies, à leurs peines. Oui tu aimes comme tu le dis dans ton texte « choyer » tes hôtes. Choyer : quel verbe magnifique. Rien qu’à le prononcer on sent ta douceur nous entourer. Femme cultivée, il est très agréable de converser avec toi. Femme libre, tu aimes la vie, la fête, le plaisir. Celui de la chair et de l’esprit. Libertine au meilleur sens du terme. Celui de notre Ninon. Ninon de Lenclos. La sublime Ninon de Lenclos. Le soleil du temps du Roi Soleil. Celui de Versailles. Une femme attachée à sa liberté, à ses libertés, sa liberté de pensée, son droit au plaisir, au plaisir charnel. A son droit d’afficher, de découvrir publiquement sa beauté. Toi aussi, tu es une merveilleuse compagne de plaisir. Si attentive à nos attentes : attente de chair, attente de tendresse, attente d’élégance, attente d’esprit, attente d’une complice. Une si douce et sincère amie. En ta compagnie, le gueux que je suis redécouvre le plaisir qu’eurent jadis bien des princes, des ducs, des maréchaux, des écrivains, des moralistes même, en compagnie de Ninon : le plaisir de partager un instant la vie d’un être d’exception, d’une femme divine. « Chanthal ! » : je murmure souvent ton prénom pour convoquer le souvenir de moments délicieux, inoubliables qui rendent si belle, si singulière, si captivante la vie.

Escorte commentaire pour cette évaluation:

Toujours ça fait plaisir écoute et lis que je suis "la sociére bien aimeé" mdr ... merci je kiffe ;;; jamais personne m'a appelé comme çà...;c'ést a cause de la complicité que nous avons .... bisous Marc-antoine Candum