About the meeting:

Apparence et Services:

Évaluation:

* Intro : alors que certains rendaient hommage ce jour-là aux héros de la Grande guerre, un élan de patriotisme me gagna, avec comme l’envie pressante de célébrer l’alliance franco-russe à ma manière. * Physique : L’orientation de la lumière sur ses photos ne l’aide pas puisqu’elle crée des zones d’ombres façon « face cachée de la lune » qui lui durcissent les traits du visage. A la vérité, j’ai trouvé Luisa très belle. C’est aussi visage « vivant », qui enchaîne une bonne demi-douzaine d’expressions faciales à la minute. Là où elle mériterait les honneurs de la nation c’est pour son cul, à un damner un Poilu. Elle est cambrée, il est minuscule, charnu, doux, frais. Juste parfait à mon goût. Les seins, ça sera rapide, y’en a pas :D. Social-time : bon ben elle ne parle pas du tout anglais. * Massages : à peine me suis-je retourné qu’elle je la trouve plantée sous mon nez pour de superbes FK. Au fur et à mesure de ce petit jeu le meeting s’empare d’un brin de folie. Elle continuait même à me pousser dans mes retranchements. Elle apprécie mon travail. Elle entre tout droit dans mon Panthéon pour une certaine technique : buste immobile, elle parvient à détacher totalement le reste de son corps. Hallucinant. Sa cambrure est maximale. Elle arque les épaules vers l’arrière. Elle est très souple, je la contorsionne et lui fait prendre tout un tas de poses. Elle est aussi entreprenante. Au terme d’une guerre des tranchées sans concession, j'apporte le clou du spectacle qui n'est pas à son goût. * Conclusion : Cinq minutes auparavant je ne connaissais pas Luisa, j’avais dû échanger un maximum de deux phrases avec elle. Une enveloppe, quelques sourires et regards, et nous voilà sans autre convention au centre d’échanges universels. Un naturel, une facilité, une spontanéité qui je le reconnais en sont presque troublants et qui me font demander ce qui peut bien la pousser à se donner ainsi. Luisa est foncièrement joyeuse, elle est d’un tempérament dynamique et enthousiaste. L’insouciance et la naïveté du Bon Sauvage débarquées à Paris parmi la grisaille et des grimaces et qui a soufflé un petit vent d’air frais et salvateur sur mon monde.