Nouvelle rencontre avec Malissa. Avec le dress code demandé d'une de ses photos. Dress code minimaliste qui met si bien en valeur la beauté féline de son corps. Que les femmes peuvent être belles tentantes. La beauté de Malissa, son intelligence du sexe et de la psychologie de nous les mâles lui a suffit pour me mettre rapidement échec et mat. Et de me captiver par ses charmes. Mais j'ai aimé l'etre, lui donner du plaisir. Tu es une adorable partenaire de jeu Malissa. A bientôt.
Je n’avais pas revu Malissa depuis beaucoup trop longtemps. Ce matin, pendant le morning, je découvre sur mon portable son retour.Malissa. Nouvelle tournée. Je trouvais soudainement beaucoup de qualités à l’orateur du moment. Et soudain le message tant attendu : « bien sur bb rdv à … ». Paris était décidément une ville magnifique. A l’heure dite, enfin, de retour de la Defense, juste avant l’Etoile, Malissa. Magnifique. Revenant d’une demi-journée de course dans un jean moulant … taille basse… et juchée sur des talons qui la cambrait magnifiquement. Deux pensées rapides : « magnifique !» puis « t’es foutu !» . Un regard sur l’appartement très élégant qu’elle a elle-même organisé. Sorti de la douche, frères punters, elle m’accueille dans une légère tenue et me lance «Suivez-moi cher monsieur ! » et se retourne en découvrant une chute de reins que à côté de laquelle celle de Mireille Darc dans le Grand Blond ressemblait à celle d’une bonne sœur. « Foutu décidément ! » mais « délicieusement foutu ». Malissa est une femme délicieuse, très belle, et très intelligente. Elle maitrise bien la psychologie de son mâle. Résigné délicieusement résigné, je la suis. Arrivé au pieds de son lit, nous nous enlaçons. L’un contre l’autre. Je goute ses lèvres. Je m’enivre de son regard. Mon désir explose. Sa main frôle ma matraque devenue sous le désir un gros gourdin. Elle me possède. Et je succombe. A sa beauté, à son désir. Nous ne sommes pas encore sur le lit, et pourtant fusionnons. Je la désire follement. J’ai la faiblesse de croire qu’elle trouve quelques plaisirs à ma présence. Nous échangeons quelques « dirty talks » coquins. Nous nous vantons de performances sexuelles très osées que nous ne respecterons sans doute pas. Je la veux. Nous glissons vers le lit. Et commençons très sagement par l’andromaque. Je la contemple sur moi. C’est la fin d’une longue journée de travail. Et je suis en compagnie d’une des femmes les plus belles de Paris. Je la désire. Je la veux. Je ne suis plus qu’un homme de Neanderthal et j’aime cela. Elle encaisse très bien et j’ai le sentiment de lui donner du plaisir. Elle est magnifique. Je me souviens de ses nouvelles photos. Et je la désire encore plus. Je me déchaine. Et nous inversons voraces la position. Missionnaire. Bateau Ivre. Malissa est trop belle, trop désirable. C’est Noel avant l’heure. Que la vie est belle lorsque l’on donne du plaisir à une aussi jolie femme. Je me dechaîne. Elle encaisse merveilleusement. Je m’inquiète de mon emballement. Elle me rassure. Malissa est aussi gentille que belle et tentatirce. Je l’attire vers moi, en la tenant dans mes bras. Je goute à ses lèvres. Je me noie dans la lumière de ses yeux. Je suis heureux. J’ai peut-être deux fois son âge. Mais cette jeune femme a fait de cette journée un merveilleux moment. J’ai aimé son audace, son intelligence. J’ai adoré le désir qu’elle a suscité en moi. J’ai fondu à la lumière de ses yeux, à sa douceur, à son envie. Je lui ai fait la promesse de la revoir toute une nuit et je la tiendrai. Elle le vaut. Malissa, tu as ensoleillé ma journée. Madame, Lady, je vous adore.