About the meeting:
Place: |
À son appartement |
Durée: |
60 minutes |
Cadeau: |
250
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Apparence et Services:
Apparence: |
10.0 |
Massage: |
10.0 |
Rapport: qualité/roses: |
10.0 |
Rating: |
98.4 |
Massage: |
Enthousiaste |
Plusieurs Massages: |
J'ai voulu seulement un |
Poitrine: |
Réels |
Attitude: |
Amicale |
Conversation: |
Intelligente |
Disponibilité: |
Facile de réserver |
Photos: |
Photo 100% réelle |
Évaluation:
La mystérieuse Russie et ses belles ambassadrices. Kamilla l’athlète du plaisir, infatiguable partenaire. Kira la flamboyante au corps sublime. La divine Lera (Lera_L) subtile, cultivée élégante et sans doute merveilleuse compagne de plasir. Lera qui gardera sans doute pour moi son mystère et que l’on imagine venir de la Venise du Nord, de l’européenne Saint-Peterbourg, la fille de Pierre le Grand. Et Ruslana, (Ruslana_v) que l’on imagine elle venir du Kremlin, fille d’Ivan le Terrible et de la conquête de la Sibérie. Ruslana qui nous a gratifié récemment d’une très belle série de photos mettant merveilleusement en valeur sa beauté très singulière. Photos qui ont beaucoup contribué à ma décision de retourner la visiter. Lors de notre dernier rendez-vous, elle m’avait dit commencer à apprendre le français. Un an après, le temps est venu de vérifier ses progrès… notamment. A l’heure où les enfants goûtent, nous allons nous abandonner au démon du plaisir avec une délicieuse princesse moscovite, sombrer dans le pêcher capital de la chair. Retour donc par un bel après-midi de Pâques sur les Champs-Elysées déserts, l’agitation des samedis parisiens ayant fait son effet. La chaleur du soleil de ce beau mois d’avril. A l’heure dite, Ruslana me donne ses consignes. En les suivant, je pénètre dans son immeuble. Un ascenseur. Arrivé à l’étage, un couloir long, très long, interminable. Enfin, le bon numéro de porte. Cette dernière par magie s’ouvre. Puis une main apparaît faisant signe de s’approcher. Une main qui disparaît derrière la porte. Puis, la porte s’étant refermée, Ruslana apparaît. Tout de suite très fougueuse comme à son habitude. Echange de baisers. Ruslana a décidé de prendre très vite l’initiative pour échauffer les sens. Se pressant contre moi son joli corps fin. Dans une belle lingerie noire mettant bien en valeur sa peau blanche, le tout enveloppé dans un kimono de la même couleur que ses jolies lèvres. Le parfum de la lady est envoutant. Un mélange de couleurs séduisantes. Ses yeux hypnotiques brillent d’un bel appétit dont témoignent aussi ses longs DFK. Son sourire est doux, gourmant, provocant. Elle est sexy, sensuelle en diable. Le plaisir de découvrir avec ma main les belles courbes de son corps, de prendre à pleine main son si-joli séant. Un climat de confiance, de proximité et de complicité s’est trop vite établi entre nous. Puis, pour pouvoir passer aux étapes suivantes, elle me conduit à travers son appartement à la douche. Hygiène irréprochable. A la sortie, nous revenons sur le lit. Plaisir d’y découvrir dans le plus simple appareil son si joli corps, avec ses belles courbes, surmonté de son visage. Est-elle ange ? Est-elle diable ? Un peu des deux. Le délicieux plaisir de laisser mon regard remonter entièrement son corps. D’apprécier la finesse de ses jambes. Le dessin de ses fesses callipyges. La douceur de son ventre. Le charme de ses jolis petits seins pointus. Sa gorge blanche. Ses lèvres sensuelles. Son regard enflammé. Merveilleux de son parfum, de la douceur de sa peau, du frémissement de son ventre lorsque je porte un baiser appuyé. Le plaisir capiteux de découvrir son joli corps, de l’enlacer un peu plus, de mordre ce sein si tendu, si tendre. Ses mains à elle en profite aussi pour me parcourir. Elles s’attardent sur une de ses parties en me plantant ses jolies yeux émeraudes dans les miens avec insistance. Provocante. Elle apprécie sentir apparaître entre ses mains le désir qu’elle suscite, semble déjà ressentir l’intrusion de cette chair durcie en elle. Elle se donne déjà et s’abandonne sans retenue, sans réticence, sans réserve. Les massages peuvent commencer. Massages où Ruslana démontre son art, sa faim de plaisir, l’énergie qu’elle a. Elle est active dans la mêlée et sait susciter de son partenaire les élans qu’elle souhaite. Elle aime beaucoup le cuni. Le plaisir durant ce long moment, de sentir son corps s’échauffer, se tendre, s’abandonner puis réagir violemment avant de sombrer à nouveau. Le plaisir de la voir être partagée. Entre le souhait de voir ce plaisir continuer et la volonté de reprendre l’initiative, de saisir le manche. Et justement, elle le saisit, retourna la situation et fit à son tour subir à son partenaire le délice d’une fellation nature digne de son art de grande courtisane. La chair s’étant fait os, elle se fit cosaque en montant à cru un étalon sauvage désireux avant tout de lui faire sentir sa vigueur. Les deux corps se mirent furieusement en mouvement, chacun essayant de dompter l’autre. Le séant de la belle cosaque encaissait merveilleusement les ruades de sa monture et la cavalière semblait très satisfaite de la vigueur de sa monture. Un temps, l’étroitesse de sa grotte fait obstacle à l’impérieux désir qu’elle a engendré en moi. Puis, d’un coup, l’envahissement. L’énergie libérée par le choc se transforme en plaisir partagé, animale. Mentalement nous régressons ensemble emporté par la violence du plaisir. De brefs échanges se font dans une langue barbare, un vocabulaire limité. La cavalcade dura un long moment jusqu’au moment où les deux s’immobilisèrent après un dernier long cri. Le plaisir les enveloppa une ultime seconde avant que la tension des corps se relâcha. L’audacieuse cosaque redevint une tendre femme. L’étalon sauvage un amant caressant. Les sens avaient basculé une première fois dans l’ivresse du plaisir. Plaisir trépidant. Le social time fut très agréable. Ruslana est une jeune femme cultivée, curieuse. Son français est désormais remarquable. Elle est une délicieuse lady qui mérite le respect pour son élégance, sa beauté, sa gentillesse, son esprit… qui peut être corrosif. Après quelques minutes, sa sensualité commençait à redonner forces et appétit à son partenaire. La prêtresse de l’amour qu’était alors Ruslana et moi son unique pénitent communièrent ensemble, se confiant leurs envies, leurs désirs. Un doux moment de complicité, yeux contre yeux, corps contre corps, lèvre contre lèvre. Sa main me parcourut et s’attarda avec gourmandise sur mon membre revigoré. Une lumière coquine apparut dans ses jolies lorsqu’elle constata la renaissance du désir qu’elle suscitait. Un cri lui échappa lorsque d’envie, me libérant de l’attraction de son regard, je me précipitait sur son sein tendre pour l’embrasser et le mordre voracement. La lumière passant à travers les persiennes de la chambre avait décliné. L’heure était passée. Nous repoussâmes une fois, deux fois, trois fois le moment de nous quitter. Mais le bonheur n’est qu’un moment. Il n’y avait plus de cosaque, de monture, de prêtresse et de pénitent, juste deux personnes heureuses de s’être retrouvés un instant, d’avoir connu ensemble tantôt un plaisir intense, tantôt un plaisir délicat et charmant. Ruslana, belle dame, grand cœur et magnifique amante, merci de m’avoir un instant, d’avoir gravé en ma mémoire de si jolies images de grâces et de beauté. Tu es toi une merveilleuse personne. A bientôt j’espère belle princesse sibérienne.