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Les photos ne lui rendent pas justice. C’est suffisamment rare pour être souligné. Elle est plus jeune en réalité qu’elle ne paraît sur les photos, plus souriante, plus avenante. La masseuse ouvre, donc, dans une dress moulante noire, et hauts talons. J’avoue que j’en n'étais pas à réfléchir pour savoir si c’était la nana des photos : j’avais complètement oublié ces dernières et matais comme un crevard Valérie de la manière la moins beauf possible : pas facile. Pas facile de rester gentleman. Une plastique à faire craquer le slip inopinément. J’ai fait le mec civilisé, ai engagé la conversation tranquillement, comme si je n’étais pas full power et que je n’avais que ça à faire. Après avoir allongé les roses de rigueur, je vais à la douche l’air détaché, et dès que je disparais à sa vue je cours-me dessape-douche-ressape (j’ai ma pudeur) à la vitesse d’un socialo à trahir son camp, d’un Hortefeux à dire des conneries, ou d’un journaliste à s’allonger. Et oups me revoilou, elle est toujours là…ça tombe bien on a des choses à faire…. Elle commence à danser un peu, elle me dit qu’elle fait du laps dance, doit penser que cela émoustille les mecs : cela doit être vrai en plus. Les cons. Moi je cherche à l’attraper pendant qu’elle danse : un match dans le match... Son sourire me fait craquer et laisse présager un bon petit massage. Un côté timide qui ne gâte rien. Je la déshabille tranquille, enfin pas tant que ça. Je veille à la faire monter en pression progressivement, histoire de n’avoir plus qu’à l’achever un peu plus tard. D’autant que je ne suis pas le premier de sa journée de travail, alors va falloir jouer fin. Ses réactions de satisfaction sont plus discrètes que d’autres, plus extraverties. Un temps légèrement décontenancé (non j’déconne), déjà en train de me dire que cela allait être plus compliqué que prévu pour la faire soupirer (c’est le seul truc qui me satisfasse vraiment…), l’état de sa petite culotte me rassura. Les fondamentaux bien en place, 70 roses plus tard, y’avait plus qu’à dérouler. La fille est capable de se lâcher dans ses massages, et un paquet de fois. On se demande parfois si elle savait que ça existait… Il faut aimer diriger les ébats, donner les objectifs. Ce n’est pas elle qui va prendre la main, et prendre de folles initiatives. Non, faut pas y aller pour ça. De même sa technique est perfectible : pas de fausse note non, mais pas de génie non plus. De même, si vous voulez un 2nd round, faut rester sur l’objectif, car elle pourrait être un peu « lazy ». Faut pas la laisser d’endormir sur le roast-beef … faut dire que le 1er massage avait été un peu mouvementé pour elle. Bien qu’elle n’y mit guère de conviction, pensant déjà à sa fin d’après-midi et à sa mousse au chocolat au resto, le 2e massage fut débuter sans artifice. Un peu sournois j’ai commencé tranquilloux-bilou confirmant dans son esprit que ce ne serait qu’un moment à passer : il s’agissait pour moi de prendre mes marques, de faire de petits essais pour voir comment ça réagissait. Et à H – 10 mn, dans un timing de folie, l’assaut final : elle qui pensait avoir le temps de prendre son café tranquille, elle lança ses vocalises dans la chambre. Cela ne m’a pas empêché de terminer le massage, que tous les muscles soient relaxés. A la fin elle a juste émis le souhait qu’il n’y avait pas de voisin. Attendrissante j’vous dis.